Bien que touché par de l'art trite sévère, ce qui a marqué les oeuvres de cet artiste inclassable (qui fut un bref instant membre de l'école de l'impressionisme), c'est la constante sereinité et joie de vivre qui transparaissaient dans ses tableaux.
À la fin de sa vie, il a préféré sacrifier la possibilité de pouvoir continuer à marcher au profit de continuer à peindre.
2 commentaires:
Malgré la souffrance et la difficulté de peindre, son auguste regard était resté facétieux. Tu as bien rendu le visage très émacié qu'il avait à la fin de sa vie, la déformation des mains à laquelle la maladie le condamnait.
Tous mes encouragements pour la suite !
Le pire, c'est que j'ai à peine caricaturer ses mains, alors que comme il était décharnu à la fin de sa vie, la rondeur de l'inflammation est trés impressionnante.
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