Vivant dans un quartier difficile de la Nouvelle-Orléans, Louis Armstrong ne connut pas beaucoup son père et fut responsable d’actes de délinquance qui lui valut d'être envoyé dans un foyer pour enfants de couleur abandonnés : le Home for Colored Waifs.
C'est là-bas qu'il apprit à jouer du cornet à piston, grâce à un cadeau d'une famille d'origine russe qui le prit en affection.
Il assistait dès qu'il pouvait aux brass-bands (orchestre composé exclusivement de cuivre) et écoutait les vieux musiciens comme Bunk Johnson, Buddy Petit et surtout Joe « King » Oliver qui devint son mentor. Louis joua plus tard sur les bateaux de La Nouvelle-Orléans, et commença à voyager avec le fameux orchestre de Fate Marable, se produisant sur un bateau à vapeur qui naviguait sur le Mississippi.
Sur les conseils de son père spirituel, il quitta la Nouvelle-Orléans pour le rejoindre à Chicago. Peu après, sur les empressements de sa femme, la pianiste Lil Hardin Armstrong, il quitte le groupe de son mentor pour rejoindre des artistes plus connus à New-York et lancer ainsi véritablement sa carrière.

(source encre de chine et aquarelle)
C'est là-bas qu'il apprit à jouer du cornet à piston, grâce à un cadeau d'une famille d'origine russe qui le prit en affection.
Il assistait dès qu'il pouvait aux brass-bands (orchestre composé exclusivement de cuivre) et écoutait les vieux musiciens comme Bunk Johnson, Buddy Petit et surtout Joe « King » Oliver qui devint son mentor. Louis joua plus tard sur les bateaux de La Nouvelle-Orléans, et commença à voyager avec le fameux orchestre de Fate Marable, se produisant sur un bateau à vapeur qui naviguait sur le Mississippi.
Sur les conseils de son père spirituel, il quitta la Nouvelle-Orléans pour le rejoindre à Chicago. Peu après, sur les empressements de sa femme, la pianiste Lil Hardin Armstrong, il quitte le groupe de son mentor pour rejoindre des artistes plus connus à New-York et lancer ainsi véritablement sa carrière.

(source encre de chine et aquarelle)
Tu es décidément très inspiré par le bonhomme, ce que je comprends bien. Je n'établirai pas de choix entre les versions de ce dessin, étant toutes deux un bel hommage à l'artiste. Chapeau, Guillaume.
RépondreSupprimerBien que possédant tout deux un élément identique et pour le moins notable, ils ne communiquent pas totalement la même chose. Comme dans un précédent post, il y a la version pop et la version naturelle; deux tout de la personnalité de l'artiste.
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